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 HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con

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Hadès S. Sparrow

Hadès S. Sparrow

worth knowing

Ҩ pseudo : Ocean Lounge.
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Ҩ crédits : En général je prends tout sur bazzart ou je le fais moi-même en ce qui concerne les avatars + les codes de signa sinon pour les gifs, c'est tumblr.



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MessageSujet: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 20:07



« Hadès Swann Sparrow »


my identity card
Hey, salut toi ! Sais-tu que je suis né(e) à Cárdenas en cuba ? C'était le 11 juin 1991 et je suppose que tu as donc deviné que j'ai 21 printemps ! Je suis issu(e) d'une famille pauvre et actuellement je suis célibataire. D'ailleurs j'aime les femmes mais le plus important pour moi c'est la vie en générale. Je fais donc partie des THE SHOW MUST GO ON. En ce qui concerne mon activité dans la société je suis barman, d'ailleurs mes collègues me disent souvent que je ressemble à River Viiperi, c'est fou ça, non ?
qualité Têtu Dévoué Jaloux Joyeux Rancunier Délicat bordélique sensible Impulsif serviable infidèle compatissant narquois


I'm getting to know you
☀ aime manier les armes, même si elle se sent incapable de tirer sur qui que ce soit ☀ va souvent au stand de tir pour se défouler ☀ a toujours besoin de son portable à disposition pour être en contact avec tout le monde ☀ adore les bonbons et en a toujours dans sa poche ☀ ment la plus part du temps sur son passé, de toute manière, personne voudrais le croire ☀ déteste son père au plus haut point, même si c'est grâce à celui-ci que j'ai eu la chance de faire des études ☀ quand une conversation ne l'intéresse pas, il sourit faussement pour faire comprendre qu'il s'en fiche ☀n'a plus aucun contact avec sa famille depuis sa fuite clandestine ☀ Sa mère était l'unique femme qu'il respectait et encore à ce jour. ☀ sa mère est morte d'un cancer, il y a quelques temps de ça pour ainsi dire seulement un an, donc la douleur de son décès est encore présente..



Behind the Screen
Hey ! Salut toi ! C'est gentil de venir me voir, je suis nouveau en ville et l'on m'appelle Émilie, j'ai 18 piges et je viens de Québec, baby ! Si j'ai atterri à Adelaïde c'est grâce à mon agence de voyage, bazzart. Mais bon c'est plutôt chouette par ici, d'ailleurs je risque de trainer pas mal dans les rues au moins sept jours sur sept. Enfin, je dois aller faire des courses, mais avant de partir je veux vous dire que ah merde, j'ai oublié ._.




Dernière édition par Hadès S. Sparrow le Mer 31 Oct - 22:49, édité 2 fois
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Hadès S. Sparrow

Hadès S. Sparrow

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HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con Empty
MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 20:07



« All my secret Life »



Votre citation personnelle
mercredi vingt-cinq février de l'année deux mille neuf.
C’est avec un sourire que je commence ce journal qui me sera sans doute inutile, mais moins pour la personne qui serait susceptible de tomber sur lui. J’estime être fièrement d’accord avec cette citation du film de Coppola. Sans paraître macho – tiens, elle est bonne celle-là - ou matérialiste, sans fric, nous sommes rien. Surtout les hommes. Et j’estime de nouveau être un cadeau des cieux pour certaines d’entre vous, quand je dis certaines, je parle notamment des femmes, et, ma foi heureusement, rien n’est plus sublime que le corps d’une femme. Je m’appelle Hadès Swann Sparrow.

Citation :
Son prénom Hadès lui vint de son grand-père de France. Celui-ci devint le grand-père préféré de du petit garçon, lui faisant découvrir le chocolat, source de délices au combien aimé de plaisir interdit qui vous arrive directement dans les cuisses et qui vous barbouille le visage d'un mélange marron qui colle.... Swann est son deuxième prénom.

« Dans mon commencement est ma fin et dans ma fin mon commencement.»
C’est aussi en allumant une de mes Lucky Strike que je songe soudainement à vous conter mon réel amour envers les femmes. Mais, en faite, je préfère garder ça pour moi. Ces nombreuses pages ne seront sans doute pas suffisantes pour tout mon éloge. Depuis petit, selon les dires de ma mère, j’aime les femmes. J’ai toujours eu la mauvaise habitude de les charmer, aussi bien celles qui m’éduquaient dans les écoles les plus sélects que mes petites camarades. J’ai même été à plusieurs reprises dans le bureau d’un directeur souffrant de calvitie qui me grognait dessus car les parents des « élues » se plaignaient des beaux discours et de lettres enivrées de fleurs que j’avais cueilli dans la prairie de notre maison d’été pour une « élue ». Ces temps-ci, autant dire que je n’avais guère changé. La maturité m’avait aussi gagné, le physique avantageux était devenu presque une arme pour moi mais j’avais arrêté les lettres. Autant aller droit au but ?

« CHAPITRES ONE.»
Ma mère, une femme courageuse, m’a dit ce matin une phrase que je n’oublierai probablement jamais. « Nous n’avons qu’une liberté : la liberté de nous battre pour conquérir la liberté. » Elle était sur le lit d’un petit hôpital de Cardenas, à Cuba. En fait, ce n’était même pas un hôpital. C’était une auberge de santé dirigée par une infirmière retraitée. Cette dernière croyait en les forces de la nature et donc n’utilisait que des produits végétaux. Ma mère était atteinte du cancer, cancer qu’elle m’avait légué à moi aussi. Tous les deux leucémiques, elle me donnait un avant-goût de ce que j’aurais l’air dans quelques années. Au moins, j’aurais la sagesse, tout comme elle. Du moins, je l’espérais. Tout comme j’espérais beaucoup de choses, dont la liberté. À Cuba, ce n’est pas un droit que nous possédons. À Cuba, tu écoutes, tu exécutes, et tu fais avec le reste qui vient avec. Quand je me promène dans ma ville, je ne vois que la misère, la pauvreté. Mais on a quelque chose de plus que ce foutu gouvernement ; l’unisson. Ils dirigent Cuba alors que tout leur pays leur est à dos. Et on se tient tous par la main. On rêve tous de la même chose. Pouvoir prendre le premier avion et partir loin de là. Se trouver un emploi, un vrai. Non pas se mettre à genoux devant les touristes et se laisser traîner à la laisse, mais bien sauver des vies, gérer des entreprises, enseigner à la relève. J’ai 20 ans depuis quelques semaines. J’étudie en sport pour l'instant. J’ai eu beaucoup de chance d’y entrer, et c’est seulement grâce à mon père, qui a travaillé dur pour ramener de l’argent à la maison. Pas assez par contre pour sauver ma mère. Ce soir, elle mourrait. Je le savais, je le sentais. Elle était à l’agonie, ses traits se crispaient, elle était ridée de partout et son souffle se faisait de plus en plus faible sur ma joue. Alors que je me couchais à ses côtés pour puiser le plus de souvenirs et de mémoires possibles, Maman se faisait froide. Je voulais lui donner un peu de ma chaleur, lui transmettre de la vie, mais il était trop tard. Ses yeux sont devenus vitreux. Elle me fixait, d’un regard fier mais pressant. J’ai compris alors qu’elle ne comptait pas sur moi pour finir comme elle. Elle ne voulait pas que je finisse comme ça, dans un lit troué et sale. Maman m’avait réservé un tout autre destin. J’ai retiré ma main de la sienne qui s’était refermée durement sur moi. Elle avait un papier plié dans sa paume. Je l’ai pris et l’ai déplié. «Quai 28, 3h50. » Le Quai 28 se trouvait au port de la ville de Cardenas. C’était un port inactif, qui avait fait faillite quand celui de la Havane avait ouvert. Il n’y avait que des bateaux de poissonnier qui s’y trouvaient. Demain matin, aux premières lueurs du soleil, il y en aurait un autre. J’ai tout de suite compris. J’ai laissé le cadavre de ma mère aux soins de la vieille infirmière et je suis retourné chez moi, en passant par le marché central encore bourré de monde. J’ai acheté de la viande, des fruits, un maximum de nourriture, et je suis rentré ici, chez moi. J’ai pris ce journal, des crayons, des vêtements, une couverture, la nourriture, et j’ai fourré le tout dans un sac à dos de piètre qualité, mais qui devrait faire l’affaire. Je me suis couché de bonne heure, pour être certain que les rayons du soleil soient assez forts pour m’éveiller dans quelques heures. Bonne nuit.

« CHAPITRES TWO.»
Me voilà au port. Il restait cinq minutes avant l’heure du rendez-vous. Je ne voulais pas non plus arriver trop tôt, de peur de me faire repérer par un haut-placé ou je-ne-sais-qui, pour ensuite paraître trop suspect. Je me suis assis sur un rocher, éloigné de l’entrée principale, avant d’apercevoir un petit bateau de marinier rempli de filets de pêches et de poissons. L’homme me fit un signe de tête bref et discret, mais assez prononcé pour me faire comprendre qu’il était là pour moi. Je me suis approché de l’eau et j’ai sauté dans l’embarcation une fois qu’il fut assez près. On s’est serré la main, on s’est présenté. Javier Vasquez était un vieil ami de ma mère, son premier amant, m’a-t-il révélé. Ça ne me faisait guère d’effet. Ma mère avait toujours été une femme frivole, je savais qu’elle n’avait pas toujours été une sainte. Peu de temps avant de mourir, durant l’absence de mon père, elle avait fait promettre à Javier de s’assurer de ma survie, de mon envol, de ma liberté. Il me prenait sous son aile, le temps que je réussisse ce que je commençais aujourd’hui. J’avais vu juste; je quittais Cuba. Quand tout s’est dessiné clairement dans ma tête, j’ai eu peur, très peur. Personne n’avait le droit de quitter le pays, à moins d’être marié ou bien d’avoir un contrat ailleurs stipulant strictement le billet de retour. Hors, quand on fugue, on ne prévoit pas revenir. Si je partais, c’était pour toujours. Javier m’a demandé si j’avais pris tout ce dont j’avais besoin. J’ai hoché la tête. Je n’avais que très peu d’argent, aucun passeport, aucune carte d’identité. À partir de ce moment, je n’étais plus personne. J’ai tourné la tête vers Cardenas, ma ville natale, qui peu à peu se flouait dans le décor. C’était la dernière fois que je voyais cet endroit. À partir de cette minute, cette seconde, je courais pour ma liberté. Javier m’a prié de me reposer un peu, parce que les heures à venir après l’accostage seraient très difficiles. Je ne savais pas ce que ma mère et lui avaient prévu, mais je l’ai cru sur parole. Je me suis allongé sous les filets – je devais me cacher, déjà – et j’ai dormi. Longtemps. Probablement. Parce que quand j’ai ouvert mes yeux, j’étais couché sur le sable, et Javier était en train de tirer le bateau sur la plage pour éviter qu’il se fasse emporter par le courant. Le vieil homme m’a regardé, m’a serré la main puis prit dans ses bras, et m’a indiqué tout ce que je devais faire en me remettant mon sac. Il était plus lourd qu’à mon départ. Je ne dis rien. Apparemment, si je piquais au travers de la dense forêt qui s’étendait devant mes yeux, j’allais aboutir à l’arrière de l’aéroport de Varadero, là où se trouvaient les pistes de décollage. Là, je devrais trouver un moyen de me faufiler dans l’un des engins en partance pour Oxymore. Si tout se déroulait bien, j’arriverais dans ce grand pays libre dans quatre heures maximum. Déjà, tout se compliquait. Comment passer les douanes de Cuba ? Tout était tellement strict, surtout dans un aéroport. N’aurais-je pu passer la frontière à pieds, par les endroits les moins surveillés ? Javier m’appris que je me serais fait tiré dès que j’aurais franchi la barrière. J’ai pris une grande inspiration, j’ai remercié ce vieil homme, et je suis parti, ne me retournant pas. Je laissais Cuba derrière moi. Après deux heures de marche au travers de la jungle crevassée, je suis arrivé à destination. Il y avait une voix en train de se remplir de touristes, une autre en attente. Je ne pouvais pas entrer dans l’aéroport sans être remarqué pour aller voir les vols. Ayant étudié un an en aéronautique, une idée m’a traversé l’esprit. Plusieurs clandestins l’avaient déjà essayé, beaucoup étaient morts, d’autres avaient survécus mais étaient blessés. Me faufiler dans les trains d’atterrissage. Si je pouvais y rester durant toute la durée du vol, qui n’était en somme pas si long, je pourrais arriver à Oxymore sans me faire remarquer. Il suffisait seulement de bien calculer mon temps, de me faire petit, et d’éviter d’attirer les regards au moment où je me rendrais jusqu’à l’avion. J’ai tout analysé. Il y avait les mini-bus qui se promenaient un peu partout sur les pistes, trois hommes surveillant la place, et le reste était à l’intérieur du bâtiment. J’ai attendu que les trois hommes soient dans une position ne leur permettant pas de m’apercevoir pendant le plus longtemps possible, et je me suis mis à courir. Je n’ai jamais été un athlète, mais quand tu cours pour ta vie, je t’assure que tes jambes se fichent pas mal de ce que ton rythme cardiaque peut bien t’indiquer. Après trois minutes de course intense et de dissimulation derrière chaque objet que je trouvais, je suis parvenu jusqu’à l’avion qui ne mettrait pas beaucoup de temps à décoller. J’ai lancé mon sac dans la cale où se replieraient les trains d’atterrissage une fois le décollage effectué, et je me suis moi-même caché dans cet endroit clos et petit. Ma claustrophobie allait peut-être être vaincue, après ça. À partir de ce moment-là, j’ai attendu. Impossible de dormir, avec le peu d’espace mais surtout la peur et le stress qui m’envahissait. Après une heure, j’ai sentit le moteur partir. L’avion s’est positionné sur la piste et a commencé à rouler. Après cinq minutes, on a décollé. J’avais réussi – la première étape de mon périple, du moins. Cependant, ce qui suivit ne me réjouit pas. Je m’attendais bien sûr à ressentir la force de la gravité une fois décollé et avant que les trains d’atterrissage ne soient remontés. Mais autant ? Non. Je me suis tenu après tout ce que je pouvais tenir, gardant mon sac plaqué contre ma poitrine. Une telle force physique était impossible. J’ai failli lâcher, mais j’ai vu que les trains d’atterrissage étaient en train de remonter. Après trente secondes, la cave était refermée, et plus rien ne pouvait m’attirer vers l’extérieur, tout étant clos. L’espace était encore plus restreint, mais après ce que je venais de vivre, plus rien ne pouvait m’arrêter. L’atterrissage fut tout aussi difficile. Une fois que l’avion fut atterri, je me mis à calculer toutes les étapes que j’avais écrites dans ma tête durant le voyage. Je n’avais aucune idée de l’endroit où je me trouvais, ni de l’heure qu’il était. Ce que je savais, c’est que je devais sortir d’ici au plus sacrant. Alors je me suis propulsé hors de la cale après avoir vérifié que personne n’était dans les parages. Les touristes descendaient directement à l’extérieur, ce qui me simplifiait la tâche. Je n’aurais qu’à me mettre à la file indienne et me faire passer pour une personne comme une autre. Oui, j’étais en Australie apprament,. J’ai donc couru jusqu’à l’escalier et, sortant de nulle part, me suis faufilé dans la foule. Ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’une femme aperçut mon petit jeu. Elle avait bien remarqué que je n’étais pas un passager et que je venais de surgir de sous l’avion. J’ai avalé difficilement, tentant de ne pas montrer un seul signe de nervosité alors qu’elle me dévisageait avec terreur. Elle devait s’imaginer que j’étais un bandit, un meurtrier, un psychopathe. Un clandestin qui avait des choses à se reprocher. Mais non, je ne faisais que rêver de liberté. Quand tous les passagers se sont enfin rendus à l’intérieur, j’ai essayé de prendre mes jambes à mon cou. Mais elle m’a arrêté et m’a abordé. Elle m’a posé un ultimatum. Soit j’expliquais tout, soit elle me dénonçait aux autorités. Et j’irais directement en prison, à Cuba. J’aurais échoué. Alors je lui dis d’où je venais, l’horreur que j’avais vécu, l’injustice de mon pays, mon but, mon vœu de liberté. Et elle voulait m’aider. J’étais un clandestin, sans papier et sans identité, et elle voulait m’aider à passer les douanes sans être arrêté. On a planifié un gros jeu, pour les mener tous en bateau. La demoiselle est allée dans la première file d’attente et a distrait l’un des gardiens alors que je passais à côté de la cabine, incognito. J’ai vraiment faillit me faire prendre, mais le doyen qui m’avait vu n’a probablement pas cliqué et a détourné les yeux, indifférent. J’ai retenu mon souffle pendant encore quinze secondes avant de continuer mon chemin. La jeune femme est venue me rejoindre trois minutes après. Elle, elle avait passée les douanes correctement. Ensuite, ne restait plus qu’à franchir les portes de la liberté. Il y avait des tonnes de chiens, de policiers, de gardiens, et j’avais peur. J’avais vraiment la frousse et j’aurais bien pissé dans mes culottes. Ma salvatrice est passée prendre ses valises dans les « serpentins » comme je les appelais, et je l’ai aidé à les porter. En plus de la remercier comme je le pouvais, j’avais l’air moins suspect. Je voyais les portes menant à l’extérieur se rapprocher, et le bonheur s’emparer de moi. Sauf que j’ai entendu un garde crier, un coup de sifflet, un chien japper, et j’ai commencé à courir. Je me suis jeté à l’extérieur du bâtiment, j’ai commencé à courir dans le stationnement, évitant les passagers essayant de me retenir, frappant à plusieurs reprises des gardiens d’un coup de valise dans la figure. Puis j’arrivais à une impasse. J’étais presque encerclé, sauf une issue qui menait vers l’autoroute mais jamais je n’aurais pu courir assez vite. Je me suis arrêté, vaincu. Puis une voiture a surgit de nulle part, s’est arrêtée devant moi. La portière du passager s’est ouverte et une voix féminine m’a criée de monter. J’ai sauté dans la bagnole avec la valise en main et on a démarré. Je me suis tourné vers elle, la même, encore. Elle m’avait sauvé de la prison, sauvée de la mort, elle m’avait rendue ma liberté. « Merci » fut tout ce que j’ai trouvé à dire. « Tu avais ma valise, fallait bien que je la récupère » fut tout ce qu’elle me répondit. J’étais libre. Bien que nous soyons poursuivis par deux chars de police. Je ne saurais pas comment vous expliquer, mais après avoir bifurqué sur une centaine d’intersections et de ruelles, on les a semés.

« CHAPITRES THREE.»
Je l’ai remercié je ne sais pas combien de fois. Bon Dieu, elle a risqué son honneur et sa réputation pour moi. Elle aurait bien pu se faire coincer, mais non, ce n’est pas arrivé. Faut croire que tous les deux étions nés sous une bonne étoile. Nos chemins ne se sont pas quittés à ce moment-là, par contre. Elle m’a payée un petit repas improvisé, que je n’ai pas refusé vu la quantité de nourriture que j’avais dans mon sac. Après cela par contre, je lui refuserais tout aide. Déjà que je m’en voulais assez d’avoir impliqué un innocent dans mon histoire de clandestin. C’était fou. En une journée, j’avais passé de prisonnier à libertin. Enfin, prisonnier est un mot large. Il ne faut pas le prendre comme au sens du « mec enfermé pour meurtre ». Au contraire, étant un médecin, je n’avais rien à me reprocher. Je sauvais des vies. Enfin, plus maintenant. Jamais je ne pourrais exercer mon métier ici . Je ne pourrais rien faire de très prestigieux, je ne devais pas me faire remarquer. À l’heure qu’il était, on devait chercher Hadès Swann Sparrow partout à Cuba, et partout en Australie. Je resterais caché. C’est alors que je fus confronté à une vérité accablante. Qu’est-ce qui était le mieux, entre vivre correctement à Cuba sans pour autant pouvoir quitter cet endroit, ou bien vivre en Australie, plus libre, sans pourtant l’être étant donné que je devrais toujours resté caché ? À partir de ces pensées, je n’ai plus prononcé un seul mot. Je me suis levé de ma chaise, j’ai laissé un peu de monnaie à la jeune femme dont j’ignorais le nom, et je suis partit, la remerciant encore mille fois. Je venais vraiment de faire quelque chose d’idiot. Il fallait que j’aille dans une ville reculée, inconnue, paisible, pour y vivre incognito. Je me prendrais le job le moins réputé de la région, au pire. Tant que je pouvais vivre librement. Au diable la gloire et l’argent, je n’y avais plus droit. C’est ainsi que je devins la personne que je suis maintenant. Eh oui.


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Liam C. Ainsworth

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 20:17

Bienvenue jeune homme danse1

Bon courage pour ta fiche ! Wink
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Alliana L. Jones-Bennett

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 20:40

Bienvenuuuuue sur le forum waiii!

Merci de ton inscription et bon courage pour ta fichounette coeur2 J'espère que tu te plairas parmi nous niaah En tout cas si tu as des questions n'hésites pas à harceler le staff waiii! on aime ça !

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Everleigh C. Bennett

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 20:57

Bienvenue sur WITS brille

J'overaime ton pseudo, il me vend du rêve (a) Evidemment tu peux me harceler aussi niaah J'espère que tu t'éclateras parmi nous !
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Adam J. Grayson-Ward

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 21:05

Bienvenue BG ! Cool & bon courage pour ta fiche !
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Lexie-Rose J. Baker

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyDim 28 Oct - 23:50

Bienvenue parmi nous et merci pour ton inscription! brille
Bon courage pour la fin de ta fiche, puisqu'elle me semble déjà bien entamée. smile Et si tu as des questions, n'hésite pas à me contacter personnellement contacter un membre du staff! ange3
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Hadès S. Sparrow

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyMer 31 Oct - 22:50

Merci à vous I love you Autrement, je pense avoir terminé ma fiche ange2
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L. Snow Jenkins

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyMer 31 Oct - 23:51

Bienvenue parmi nous. brille
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Hadès S. Sparrow

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyJeu 1 Nov - 0:04

Merci I love you
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C. Raven Brentwood

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyJeu 1 Nov - 1:55

Epouse-moi (a)
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Lilian Weatherly

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyVen 2 Nov - 0:53

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche I love you
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Hadès S. Sparrow

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyVen 2 Nov - 1:26

Raven, ou tu veux, quand tu veux cool

Merci Lilian !
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Maxine S. Kheller

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyVen 2 Nov - 1:43

Bienvenue sur le forum !

Je suis vraiment fan du pseudo que tu as choisi ! brille

Amuse-toi bien parmi nous !
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Alliana L. Jones-Bennett

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MessageSujet: Re: HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con HADÈS ◭ J'suis canon quand j'fais le con EmptyVen 2 Nov - 15:22



« Tu es Validé (e) ! »



FELICITATIONS

[i]Navré du retard, j'ai du quitter mon ordinateur hier soir caché1 En tout cas c'est une très belle fiche que tu as là brille, le pauvre m'a bien fait de la peine avec sa mère ! L'histoire est très original, ça fait du bien de voir des personnages qui sortent de l'ordinaire & j'ai vraiment hâte de le voir à l'oeuvre ! J'aime beaucoup ta plume au passage brille , mais en attendant .../i]

Bienvenue Officiellement sur WITS !
Tu peux dès à présent aller plus en avant sur le forum et découvrir les merveilles qu'il renferme ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens que je me permets de te conseiller ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite pour ton confort personnel, vient recenser ton avatar au plus vite & montrer qu'il est enfin à toi ! De plus afin d'être tranquille par la suite, tu peux faire une demande de logement et venir recenser ton métier, c'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler !

Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens ainsi que ton répertoire de RP pour te faire des amis ! Tu peux également aller créer un scénario, si ton personnage a besoin d'un lien en particulier ! Sinon je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous ! Mais surtout le plus important le RP

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